Philosophie

Disons le simplement, les logiciels comme Microsoft Windows, ESX de VMWare, PRTG ou des produits comme Sonicwall, c’est compliqué. Pas tant sur leur utilisation que sur la gestion de leur licence. Il existe toujours une multitude de licences pour chaque produit, et il faut souvent les renouveler. Soit pour continuer à bénéficier de fonctionnalités, soit pour simplement pouvoir les utiliser.

Par exemple la licence d’utilisation de PRTG est a renouveler périodiquement, sans quoi, au lieu de surveiller vos 1000 sondes par exemple, vous n’en aurez plus que 100.

Que dire de plus de licences de ESX dont le prix est en train de s’envoler suite au rachat de VMWare ?

Pour faire face à ces constats, ASLION propose de vous conseiller et de vous accompagner pour trouver des solutions alternatives, économiques et cependant robustes, fiables et sécurisées.

Logiciel libre, open source ? Quelles différences ?

À première vue, les termes « logiciel libre » et « open source » semblent interchangeables. Pourtant, ils incarnent deux visions distinctes, mais étroitement liées. Si les différences peuvent paraître anecdotiques ou relever d’un débat académique, elles traduisent des approches philosophiques et pratiques complémentaires.

La notion de logiciel libre, introduite par la Free Software Foundation (FSF), repose sur une vision sociale et éthique : garantir à tous les utilisateurs des droits fondamentaux. Ces droits, appelés « libertés fondamentales », sont :

  1. la liberté d’exécuter le programme, pour tous les usages ;
  2. la liberté d’étudier le fonctionnement du programme et de l’adapter à ses besoins ;
  3. la liberté de redistribuer des copies du programme (ce qui implique la possibilité aussi bien de donner que de vendre des copies) ;
  4. la liberté d’améliorer le programme et de distribuer ces améliorations au public, pour en faire profiter toute la communauté.

Ces libertés nécessitent un accès au code source, mais vont plus loin en insistant sur le droit à la modification et au partage.

En revanche, le concept open source, apparu plus tard, met principalement en avant les avantages pratiques et la collaboration. Il est souvent résumé ainsi :

« L’open source est une méthodologie de développement ; le logiciel libre est un mouvement de société. »

L’accès au code source est donc commun aux deux, mais le logiciel libre se concentre sur l’utilisateur et ses droits, tandis que l’open source privilégie la qualité et l’innovation par le développement collaboratif.

Mais concrètement ca veut dire quoi ?

Il existe des logiciels que vous n’avez pas le droit d’installer sur de machines de type serveur. Il existe des logiciels dont vous n’avez pas le droits de faire la redistribution, même à titre privé ou pour vous simplifier la vie.

Et surtout, les logiciels propriétaires, interdisent l’accès à leur code source. Ce qui empêche de savoir comment le logiciel fonctionne, ou même d’y contribuer pour un developpeur.

Avec les logiciels libres, aucune de ces restrictions n’existent.

Oui, mais accéder au code source ca n’intéresse que les développeurs !

Oui en effet ! On ne s’en rend pas compte, mais cela est énorme comme impact. De manière générale, les bug et les dysfonctionnements sont beaucoup plus vite corriger sur les logiciels libre que sur les logiciels propriétaires. Eh oui ! Hélas lorsque Microsoft constate un souci, ils résonnent généralement en terme d’impact financier pour eux. Si le bug est mineur ou difficile à reproduire, il ne sera pas prioritaire, même s’il impacte des dizaines de milliers d’utilisateurs.

En revanche, dans le logiciel libre, l’approche est différente, et c’est la communauté des développeurs qui vont corriger les logiciels. Et plus un problème est remonté, et plus la demande risque d’être traitée rapidement. Il n’y a pas d’approche comptable, car les développeurs en logiciels libre font souvent cela, par passion, par perfectionnisme ou par conviction farouche !

L’informatique à cela de particulier (j’allais dire de presque unique) que les informaticiens sont parfois des vrais passionnés qui pensent avant tout à la communauté.

Bon d’accord, mais pour moi cela change quoi ?

Eh bien déjà, premier avantage et pas des moindre, plus de licences à payer ! Ni en achat « one-shot » ni en achat récurent.
Mais ce n’est pas que ça :

  • Respect de votre vie privée
    Pas de mouchards, pas de tracking caché. Vos données vous appartiennent, point final. Avec le libre, la transparence est au menu.
  • Rapidité des corrections des bugs
    Qui aime attendre des semaines pour une mise à jour ? Pas vous, ni nous. Les logiciels libres bénéficient d’une communauté active prête à dégainer le correctif avant même que vous ayez eu le temps de râler.
  • Coût maîtrisé (mais pas forcément gratuit)
    Pas de licences hors de prix, pas de frais cachés. Le libre s’adapte à votre budget tout en vous laissant investir là où ça compte vraiment : dans vos projets.
  • Indépendance technologique
    Les solutions libres, c’est l’assurance de ne pas être prisonnier d’un fournisseur. Vous restez maître de vos outils, aujourd’hui et demain.
  • Sécurité renforcée
    Quand le code est ouvert, il est audité par des milliers de pairs. Résultat : des failles vite identifiées, corrigées, et une tranquillité d’esprit pour vous.
  • Innovation et communauté
    Le logiciel libre évolue rapidement, porté par des communautés passionnées. En choisissant le libre, vous êtes à la pointe… sans même avoir à courir après les tendances.

Et si on résumait ?

Avec les logiciels libres, vous gagnez sur tous les tableaux :

  • Vos données restent les vôtres.
  • Vos outils s’adaptent à vos besoins.
  • Vos budgets se concentrent sur ce qui compte.

Finalement, vous vous demanderez pourquoi vous ne l’avez pas fait plus tôt !

Avec ASLION, vous avez l’occasion de vous libérer des contraintes des licences, de maîtriser vos coûts, et de gagner en flexibilité. Et surtout, de rejoindre une communauté d’utilisateurs et d’entrepreneurs qui partagent une vision : celle d’une informatique plus humaine, accessible et responsable.

Alors, prêt à faire le pas ?